UN MERVEILLEUX GRAND-PERE
Je t’aimais énormément
Avec toi, c’était différent
Lorsque je venais pour te voir
Tu savais redonner espoir
Tu avais toujours le moral
Toujours une plaisanterie
Qui me faisait toujours sourire
Même dans les cas délicats
Je sais, la vie pour toi là-bas
N’était pas toujours agréable
Pour ça je suis fière de toi
De ta volonté, ton courage
Toi, tu as été dans les champs
Toi, tu as été paysan
Te demandant de travailler
Ils ne voulaient plus t’arrêter
Eux, ta santé ils s’en foutaient
Ta volonté, en abusait
Tu devais te taire, rien dire
La paye te servait à vivre
Mais maintenant, tu es parti
A cause de cette maladie
Sur que tu es au Paradis
Pour les merveilleux Papis
Rien que pour toi est ce poème
Car pour toujours, je t’aimerai
Malgré ces trois ans loin de toi
Tu restes dans mon cœur, crois-moi